Je reviens un peu en arrière, sur le concert auquel j'ai assisté le 11 Févier.
Une heure et demie magique, de charme, de fougue dans un espace-temps de poésie, de sensualité, préservé des réalités du quotidien.
A peine un siècle à elles quatre. Sur scène le spectacle était aussi visuel, graphique, ballet de bras et d'épaules nus sur fond sombre.
Au programme Schubert, le quatuor à cordes n°13 en la mineur D804 "Rosamunde" et le quatuor à cordes n°14 en rémineur D810 "La jeune fille et la mort".
On peut les retrouver ici.
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